Certains événements qu’on traverse peuvent nous conduire à penser qu’on est seul. Violences conjugales, addictions, perversions, manipulations, abus, pensées de suicide, on compréhensions … On est parfois si désemparé face à la dureté d’une certaine réalité de la vie, souvent tue ! Et on ne sait pas toujours comment l’affronter, comment se défendre lorsqu’elle ne nous fait pas de cadeau.

On en arrive à se dire qu’on est seul, que personne ne peut nous comprendre. Et à ne pas trouver de soutien ailleurs, on finit par se trouver bien faible. S’agit-il réellement de faiblesse ? Je crois qu’il s’agit plutôt de peurs. Peur au pluriel.

 

Si tu écoutes les conversations des gens autour de toi, ou peut-être même les tiennes, si tu regardes les réactions que nous avons parfois, il est assez facile de se rendre compte que nous sommes des êtres remplis de peurs. Elles se déclinent de différentes façons : anxiété, angoisse, stress, inquiétude dès que le facteur humain entre en jeu, nervosité. La peur des autres, de leurs réactions, de leurs comportements. La peur du rejet, la peur qu’on nous juge, la peur d’échouer.

  • T’es-tu demandé si tu pouvais y changer quelque chose ?
  • Si tu pouvais proposer une autre version de comment vivre son quotidien ?
  • Comment traverser ces souffrances, lorsqu’elles ne changent pas comme avec un coup de baguette magique ?

Quelles sont les peurs que nous pouvons identifier autour de nous (et dans notre vie personnelle aussi) ? Je vais écrire ces peurs comme si c’était toi qui les vivais, pour que tu puisses te mettre à la place de ceux qui en souffrent.

La peur de montrer la souffrance que tu vis

Tu n’oses pas montrer tes larmes, quand parfois, tu te disputes dans ton couple ou lorsque quelqu’un t’a blessé par ses paroles ou actes.  Il peut arriver que la violence te terrorise au point que tu te caches dans un coin jusqu’à ce que tes pleurs se calment. Que les traces disparaissent.

Tu aimerais bien que les blessures physiques et émotionnelles s’arrêtent, mais tu te dis qu’il faut que tu gères la situation.

Peut-être que tu as peur du regard des autres s’ils savaient ce que tu vivais. Peur de leurs moqueries, de leurs critiques. Les humiliations de groupe, tu en as déjà peut-être subies. Même peut-être encore aujourd’hui. Alors franchement, quitter son lieu de travail pour un autre, son école pour une autre, et que ce ne soit qu’une répétition de tes problèmes, ailleurs, à quoi bon ?

Pourtant, tu souhaiterais te faire tout petit ou disparaître de leur champs de vision pour ne plus avoir à vivre ce harcèlement. Tu penses pouvoir y arriver tout seul, tu te dis que ça finira bien par passer. Plein d’espoir mais toujours emprisonné.

 

La peur de demander de l’aide

À quand remonte la dernière fois où tu t’es regardé dans un miroir ? Et que te renvoie l’image dans ce miroir ? Quelqu’un d’heureux ou accablé ?

Reconnais que tu es fatigué de vivre de cette façon. Tu te sens pris dans un tourbillon que personne ne peut stopper pour toi, si tu ne fais pas quelque chose pour que ça change.

Je comprends que tu ne veuilles pas en parler aux autres, de peur qu’on ne t’écoute pas, ou qu’on se moque encore une fois de toi. Parce qu’au fond, qui se préoccupe de ce que tu ressens ? C’est peut-être ce que tu te dis.

Il serait peut-être temps de demander de l’aide, tu ne crois pas ?

  • Mais comment faire ? Vers qui se tourner pour trouver de l’aide ?
  • Qui répondra à cette demande, quand tout le monde regarde qu’à sa propre vie ?
  • Qui m’apportera cette paix dont j’ai besoin pour continuer à avancer dans la vie. Avec les autres, avec moi ?

Lui. Bien mieux qu’un psy, c’est pour moi un ami ! A qui tu peux tout raconter, sachant vraiment te soulager ! Laisse moi te le présenter différemment !

 

Un ami qui te veut du bien

Qui ne rêve pas d’avoir quelqu’un à qui parler qui comprend exactement ce que tu vis ou a vécu ?

À chaque fois qu’on te hurle au visage, ce cri, il l’entend lui aussi. Quand tu te prends une gifle, un coup, il le subit aussi. Quand tu pleures, il pleure avec toi. Quand tu as peur, il l’a ressent aussi. Quand tu te sens seul, il comprend ce sentiment. Lui aussi l’a déjà vécu. Quand tu es humilié, critiqué, bousculé, il sait lui aussi, combien c’est désagréable. Il l’a vécu avant toi. Tu tombes par terre ? Il tombe aussi.

Cet ami sait combien tu es las de cette façon de vivre, il le comprend parfaitement. Tu en doutes encore ? Pourtant, il te fait cette proposition ici et maintenant : “Donne-MOI tout”. Tout, c’est tes soucis, tes souffrances, tes inquiétudes, ta solitude, tes peurs. Il prend tout sur lui, sur ses épaules.

  • Tu as peur de lâcher prise ? C’est normal ! On aime bien tout contrôler de notre vie, alors qu’on ne gère pas grand chose, finalement.
  • Tu as peur du changement que ça va provoquer ? C’est normal ! L’inconnu a quelque chose d’effrayant. Et Pourtant, ce changement sera bénéfique, je peux te l’assurer.

J’y suis déjà passé. Ce changement a eu un impact sur absolument toute ma vie. Clique sur cette vidéo pour comprendre ce que je te dis.


Il est ce meilleur ami qui peut te comprendre, t’aimer et t’accompagner. Il n’en existe pas de meilleur que lui. Il est celui qui veut transformer ta vie, car c’est lui qui s’est chargé de toutes tes souffrances et de toutes des douleurs. (La Bible, Esaïe 53.4)

En réalité, il a déjà tout porté pour toi, à ta place. Si seulement tu voulais bien cesser de te battre tout seul et le laisser faire. Il veut que tu deviennes toi aussi son ami.

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