On se fait tous une idée du bonheur.

Avec une vision bien personnelle finalement. Souvent définie par les aspects extérieurs à nous-mêmes :

  • Pour beaucoup, le bonheur se résume à tout ce qu’ils possèdent, “aux signes extérieurs de richesse”
  • Pour d’autres, c’est plutôt en rapport avec leur carrière professionnelle ; le facteur réussite est très important pour eux
  • Et il y a ceux qui misent tout sur l’autre, au travers des relations (couple, amitiés, familles…)

Que ce soit pour toi ou pour ceux qui t’entourent, je suis sûr que tu arrives, aussi bien que moi, à “ranger” une grande partie de tes proches – si ce n’est tous – dans ces 3 catégories.

“Ce n’est pas ce que l’on possède mais bien ce qu’on apprécie qui fait le bonheur.” (Charles Spurgeon)

Moi aussi, j’avais idéalisé le bonheur. Un jour, il est parti. J’ai vécu une déception sentimentale. J’ai cru que jamais plus je ne goûterai au bonheur d’être à 2. La suite est bien différente. Reste avec moi pour en savoir plus.

Mais comment rebondir d’une déception ?

Qu’elle soit relationnelle, professionnelle et personnelle, on a tendance à ranger la déception au rang des “oubliés” en prenant bien soin de ne pas y revenir et attiser les braises encore bien chaudes, même après plusieurs années.

Tu le sais, ma foi a une grande importance dans ma vie. C’est vrai que ma relation avec Dieu n’a pas été un exutoire, mais a eu un rôle important dans ma guérison intérieure et extérieure face aux différentes déceptions que j’ai essuyées. Y compris celle-ci : une rupture amoureuse alors que la date du mariage était planifiée et les préparatifs bien avancés.

C’est quoi la déception ?

“Qui n’attend rien d’autrui ne sera jamais déçu.” Pierre-Claude-Victor Boiste

On a tous des attentes dans la vie. Quoi de plus normal ! C’est un peu compliqué de ne rien attendre – et ainsi ne pas être déçu – alors qu’on navigue dans une société de consommation qui aime te faire croire que le bonheur s’achète.

Notre attente, la plupart du temps, prend des tournures différentes en fonction du domaine concerné. D’ailleurs, tu dois connaître l’expression “se faire des films” ou encore “se faire des plans sur la comète”. Cela signifie bien qu’il y a une part de rêve influencée par des idéaux qu’on a piochés à gauche et à droite. Mais, quand cela ne se passe pas comme prévu, on finit par être déçu ! On tombe de haut ! On se prend un mur, une claque.

Quelques déceptions faciles à détecter autour de toi

On va se mettre à la place de tes proches un instant pour que tu comprennes ce qu’ils ressentent.

Une promotion qui n’arrive jamais

Tu es motivé, consciencieux, toujours le premier à arriver au travail, toujours le dernier à partir. Cette promotion, tu en rêves. Pour de vrai. Même la nuit, tu te vois en haut de l’échelle sociale. Des mois passent, des années passent, et toujours rien. Pourtant, il te l’a bien dit, ton chef, que tu irais loin, avec ton attitude de bosseur.

“Tu pourras toujours compter sur moi !”

Cette phrase, elle résonne encore dans ta tête. Ton meilleur ami te l’a plusieurs fois affirmé, c’est limite s’il ne s’est pas tailladé le pouce pour devenir frères de sang et te prouver votre amitié, c’était “à la vie, à la mort”. Pourtant, à ta première période de chômage, il t’a laissé t’enfoncer dans les ennuis jusqu’au cou sans jamais lever le petit doigt pour toi.

Ce job de rêve, il est pour toi !

Tu y as cru ! Ton pote t’a promis de te mettre en relation avec le PDG de sa belle-sœur. C’est sûr, t’es le profil idéal, il va parler de toi. Ce boulot te fait briller les yeux rien que d’y penser, cette carrière va te permettre de vivre ce dont tu rêves depuis des années. Au bout du compte, tu n’as jamais reçu de réponses. Ni à tes mails, ni de ton pote, qui pour finir, n’a peut-être même pas parlé de toi. Ton rêve se brise. Et peut-être même ton amitié avec.

Ton âme-sœur, c’est sûr, c’est lui (elle) !

Vous êtes faits l’un pour l’autre. Vous vous complétez parfaitement. Pas un millimètre qui ne colle pas. Jamais le ton ne monte. Parfois un regard suffit pour vous comprendre. Et puis, un jour, tu n’as pas compris ; elle boude. Un autre, c’est toi qui rales. C’est bizarre, vous ne parlez plus le même langage. Le quotidien est devenu une plaie, t’as plus rien à attendre d’elle, ni elle de toi. Espérer que ça s’arrange ? Tu n’y crois plus. Ca fait mal et ça laisse des traces. Tu ne sais même pas si c’est encore envisageable d’espérer avec une autre personne.

  • Tu as pu identifier certains de tes proches dans ces exemples ?
  • Note les noms des ces personnes sur un post-it et affiche-le sur ta porte d’entrée.
  • Tu es sur le point de faire une belle différence dans leurs vies.

Ma dépression

Je t’ai dit que, moi aussi, j’avais vécu une déception : un échec sentimental quelques mois avant le grand mariage. Tellement dure à vivre, cette rupture, que j’en ai fait une dépression. Mais, j’en ai retiré plusieurs leçons au passage.

La première de ces leçons, c’est que le danger se trouve dans le fait de vivre dans un excès d’attentes. Ou bien d’avoir des attentes qui ne sont pas quantifiables – je veux être heureux, je veux être épanoui, pour moi être heureux, c’est tout réussir …

À force d’attentes non satisfaites, on se nourrit de déceptions et de frustrations qui nous éloignent du bonheur. On se met à ne plus rien attendre du tout et penser que le bonheur n’est, finalement, que pour les autres, mais pas pour soi !

Au-delà de la souffrance, j’ai appris à être intentionnel dans ma recherche du bonheur. En réalité, j’ai révisé ma notion du bonheur, grâce à cette formule que je me suis appropriée et que tu peux toi aussi partager à ces proches, déçus par la vie.

Comment faire ?

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Tu as la possibilité de les faire passer de « le bonheur, ça ne marche que pour les autres » à « je suis heureux avec Jésus dans ma vie » !

On est sur le point de faire une révolution et j’aimerais que tu en fasses toi aussi partie.

Bastien Cuenot.