Si le bonheur ne s’achète pas, en revanche, sa quête peut vite devenir un gouffre financier. Surtout pour ceux qui sont prêts à tout pour être heureux. Mais aussi un piège qui se referme derrière tous ceux qui ont tout essayé pour atteindre le Nirvana.

“Le vrai bonheur coûte peu ; s’il est cher, il n’est pas d’une bonne espèce.” (Chateaubriand)

 

Cette recherche insatiable du bonheur provient, selon les experts médicaux, d’un vide ou d’un manque. J’ai souvent entendu cette phrase dans des soirées ou dans de simples discussions entre amis : “J’ai tout pour être heureux et pourtant, je ressens ce grand vide en moi. Mais qu’est-ce qui cloche chez moi ?

J’ai personnellement aussi vécu ce ressenti. C’est comme si j’étais doté d’un puits sans fond à l’intérieur de moi. Rien ne peut vraiment le remplir. Finalement, on en arrive à se dire que le bonheur ne doit certainement pas exister.

 

Face à ce trou béant souvent inexplicable ou inexpliqué, beaucoup de nos proches et entourage cherchent leurs propres solutions. Que ce soit dans des substituts, des ersatz de bonheur, ils finissent souvent pas s’enfermer eux-mêmes dans des prisons, difficiles d’en sortir :

  • Substances illicites : alcool, drogue, médicaments
  • Addictions dangereuses : sports extrêmes, violence, jeux
  • Dépendances au travers de comportements excessifs, alimentaires ou sexuels

Toi aussi tu as des proches comme cela ? Ou peut-être même que tu fais partie de ces personnes-là toi aussi ?

« L’addiction est une affection cérébrale chronique, récidivante, caractérisée par la recherche et l’usage compulsif de drogue, malgré la connaissance de ses conséquences nocives”, selon le site gouvernemental français.

La majorité des  produits (et des comportements) concernés par l’addiction présentent ce double effet :

  1. Sensations agréables, détente, bien-être, le tout accompagné de bienfaits thérapeutiques. Mais, on fait vite face, au côté éphémère qui te redemande de mettre les choses en place pour revivre cet instant agréable.
  2. Suite à des prises régulières et durables, ces sensations se transforment en troubles nocifs, pathogènes et destructeurs.

De prime abord inoffensifs, certaines habitudes ou certains comportements sont séduisants sous le couvert du plaisir ou des sensations fortes qui procurent du bonheur. Pourtant, ils peuvent s’avérer extrêmement dangereux pour la santé ou pour l’équilibre psychologique, social, etc. Non seulement pour les utilisateurs mais aussi pour son entourage, sa famille.

 

Une addiction fun : le sport extrême

Quel que soit le sport, pourvu qu’il procure une sensation forte de plaisir derrière le risque, la vitesse, la hauteur, la performance. Beaucoup s’adonnent à ces activités sportives qui, elles aussi, présentent un double revers : plaisir-danger, parfois mortel.

Motocross, surf de gros, base jump ou ski freeride, les adeptes de ces plaisirs dangereux vivent à fond leur passion au point d’en perdre la vie. On dénombre plusieurs centaines d’accidents mortels chaque année. Pourtant, leur quête de bonheur à travers ces sports “no limit” ne les empêchent pas de poursuivre leur folie.

Est-ce que la pratique d’un sport dangereux est mauvaise ? Bien sûr que non ! Mais ça le devient lorsque ça devient quelque chose de vital et indispensable, comme l’effet d’une drogue finalement. On ne peut plus reculer face à l’appel de l’adrénaline.

Tu te reconnais ou tu reconnais un de tes proches dans cette description ?

 

Accro au sexe, à la nourriture, à la violence

Porter à la bouche tout ce qui passe sous la main… c’est combler d’autres vides qui conduisent à l’obésité et à des risques sérieux de troubles vasculaires. Sans compter le mal-être, les douleurs psychologiques, physiques qu’entraîne la boulimie ou les excès de table.

Enchaîner les relations sans lendemain pour combler un besoin d’amour inassouvi ou la peur d’être seul. Croire que le bonheur se trouve dans le plaisir sexuel peut conduire à des comportements de dépendance destructeurs pour soi et son entourage.

Organiser et/ou participer à des fights sur le parking d’un supermarché pour se sentir vivant est un comportement que l’on retrouve de plus en plus souvent chez les jeunes.

  • Es-tu déjà tombé ou un de tes proches dans le piège de l’addiction ? 

Sans parler de l’alcool. Encore une façon éphémère de combler un problème durable à l’intérieur de soi. Combien de mes proches sont passés par là eux aussi pour soulager un coup de blues, noyer une rupture ou tout simplement pour atteindre cet état second qui les déconnecte de leur réalité.

 

Si toutes ces sensations, ces substituts au bonheur semblent séduisants dans un premier temps, ces “bons plans pour planer” peuvent se terminer en chute libre très douloureuse.

Fort heureusement, tout le monde n’en arrive pas là et tu fais peut-être partie de ces heureuses personnes qui n’ont pas besoin de vivre une addiction pour avoir le sentiment d’être heureux. On est en réalité plus de 2 Milliards sur Terre à ne pas avoir forcément besoin de dépendances pour vivre le bonheur.

Et si tu partageais ce qui te rend heureux ?

J’ai trouvé l’équilibre entre passion et raison dans la personne de Jésus-Christ et aujourd’hui je m’attache à le faire connaître à ceux qui vivent dans des dépendances de toutes sortes pour leur montrer qu’Il est capable de les délivrer de ces prisons.

 

Alors si tu t’es reconnu dans cet article ou si tu as reconnu un de tes proches, je suis persuadé que les personnes autour de nous pourront nous remercier de la solution que nous avons à leur présenter.

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On est sur le point de faire une révolution et j’aimerais que tu en fasses toi aussi partie.

Bastien Cuenot.